ארכיון יומי: 22 בינואר 2014


Une histoire de familles-J.Toledano-Afriat

Joseph Toledano

Ecrivain journaliste, conferencier, ne a Meknes, Maroc, en 1938, Monte 1963 a Jerusalem, cיוסף טולידאנו 2omme premier delegue du mouvement Oded, il a ete journaliste a Kol Israel.

Afriat

Sans doute le nom patronymique le plus typique du Maroc et qui renvoie auz contes et legendes sur l'anciennete de l'installation des Juifs au Maroc. Afriat serait en effet l'anagrame d'Ephraim, le prenom du second fils de Joseph. Quand Joseph demanda a son père Jacob de benir ses deux enfants, le patriaha posa sa manin sue Ephraim et quand Joseph lui fit remarquer qu'il n'était pas l'aine, Jacob lui repondit :

" Je sais mon fils, je le sais, lui aussi deviendra un peuple et lui aussi sera grand " ( La Genese, 48-19 ) Et effectivement, la tribu d'Ephraim fut une des plus grandes parmi les douze tribus d'Israel. Selon la tradition orale transmise de generation en generation, des exiles de la destruction du Premier Temple ( 580 avant J.C ) appartenant a la tribu d'Ephraim, les Ephraim, se sont etablis dans la riche region du Sous, au sud du Maroc, y fondant un puissant royaume.

Leur prosperite fut si gramde que pour ne pas la pedre, ils auraient rejete l'appel d'Ezra et Nehemya de revenir construire le Second Temple et Dieu les punit en detruisant leur royaume et la dynastie des rois fondee par Abrahan Ephrati. Les survivants se disperserent alors dans le sud du Maroc et, pour echapper aux persecuteurs, ils adopterent un anagrame de leur nom de famille qui devint desormais Afriat.

La famille s'illustra a nouveau au XVIIIeme siecle dans le tragique episode des martyrs d'Oufran, et une nouvelle fois au siecle suivant comme la premiere famille capitaliste du Maroc. Une grande partie de la famille s"installa des la premiere moitie du XIXeme siecle en Angleterre. Autre orthographe : Friat. Au XIXeme siecle, nom peu repandu, porte au Maroc – Mogador, Agadir, Marakech, Sefrou, Debdou, Casablanca, et par emigration en Angleterre et aux Etas-Unis, ainsi qu'en Algerie, dans l'Oranais.

Rabbi Naftali Afriat

Fils de Yehouda, le heros de l'un des plus tragiques episodes de l'histoire des Juifs du Maroc connu comme cekui des " Nisrafim d'Oufran ", " Les brules d'Oufran ". La legende le situe a une epoque tres reculee, si reculee que le rabbin Yaacb toledano, l'auteur de la premiere histoire des Juifs au Maroc, l'a confondu avec le massacre de la population juive de Borion ( dont on ignore l’emplacement exact a ce jour ).

Sur l'ordre de l'Empereur romain Justinien au VIieme siecle , dans sa tentative de stopper les progres de la judaisation des Berberes et pour favoriser leur christianisation. En fait, l'evenement est bien plus recent, datant de 1790, comme l'a momtre un chercheur francais.

Cette annee la, un sorcier usurpateur du nom de Bou Halassa, souleva une partie de la population du Sous. Pour rehausser son prestige de chef religieux, il voulut frapper un grand coup en operant unr conversion de mase parmi les juifs.

Il s’empara alors d'un groupe de 50 commercants d'Ofran pour les forcer a se convertir publiquement a l'Islam. Il usa d'abord de la pesuation en leur promettant honneurs et richesse, puis devant leur refus obstine, il eleva un grand bucher en menacant de les y jeter s'ils persistaoient dans leur erreur.

Leur rabbin Naftali Afriat, raffermite leurs cœurs, les implorant a prefere le martyr au reniement de la foi des ancetres. Ils se jeterent alors l'un apres l'autre dans les flammes, rabbi Yehouda restant le dernier pour s'assurer qu'il n'y aurait aucune defaillance.

Les restes des cinquante martyrs appartenant aux familles Afriat, Knafo, Chriqui, Sebbag et Amsellem furent enterres dans une grotte qui devinr sacree avec interdiction absolue d'y entrer, " Mearat hamakhpela " .

La famille Afriat s'installa apres cet episode tragique a gouliminem, ou le fils de rabbi Naftali devint l'agent commercial du cheikh Bayruk de la region de l'oued Noun, qui dut sa fortune au developpement du commerce  des produits du Sous avec l'Europe par le port de Mogador remin en activite par le sultan Moulat Abderhman. 

Joseph Afriat
Fils de Naftali. Bel exemple de promotion sociale – en une genaration, il fit passe sa famille dr l'economie traditionelle au capitalisme le plus avance. Il arrivs de l'oasis de Goulimine dans le Sous au nouveau port de Mpgador en 1837, y fonda une maison de commerce international en 1844, apres le mombardment de la ville par la flotte francaise – en punition de l'aide apportee par le Maroc a la rebellion d'Abdel Kader en Algerie – il fit venir de Goulimine ses freres Jacb ( mort en 1887 ), Judah Abraham et Messod.
En exellence relation avec le Palais, il devint importeur des produits de luxe pour la Cour. Fortune faite, il s'installa en Angleterre ou, avec le concours de ses neveux , Aaron et Sellman, il fonda la plus grande maison de commerce marocaine de la City de Londres.
Il adaptaa l'economie marocaine les methodes du capitalisme et y reussit mieux, grace a son eaprit d'initiative, que les anciens riches, les traditionnels marchands du sultan, trop dependants des humeurs et caprices du souverain.
Il fonda des succursales de sa maison de commerce a Marseille et a Marakech. Ils furent les introducteurs du the au Maroc, devenu  des lors la boisson nationale. Une variete de the vert " Sow Mee ", portant meme leur nom, était connue dans le Sud du Maroc comme " attay Afriat " .
Ils se specialiserent egalement dans l'exportation de la gomme araboque et investirent dans la Bank of England et la Compgnie francaise de navigation Paquet, assurant la liaison entre Marseille et l'Afrique noire en desservant en route les ports marocains. Un autre parent, investit dans le developpement des chemins de fer anglais.  
Jacob Afriat
Fils de Naftali, marchand du sultan a Mogador, il recut une maison de fonction dans le plus beau quartier qui domine la ville, la Kasba. Son fils, Joseph poursuivit  l'affaire patrenelle et devient un des grands capitalistes de Mogador. Mort en 1887, il etablit ses fils a Londres ou il se rendait plusieurs fois par an. Il possedait des actions des chemins de fer anglais et des depots a la Banque d'Angleterre.
Shelomo Afriat
Riche et pieux commercant de mogador, un des trois editeurs du premier receuil des chants liturgiques marocains , les Bakachots, Shir Yedidout avec rabbi David Elkkaim et David Iflah, publie a Londres au debut du siecle. La seconde edition, la plus connue parut a comte d'auteurs a Marrakech en 1935.
 Abraham Afriat
Surnomme Hazan Bihi. Fils de Naftali. Ne a Goulimine en 1820, il s'installa a Mogador et s'attira les faveurs du Palais royal. Il epousa la fille du grand commercant d'Alger Abraham Corcos, devint l'interprete du consulat francais de Mogador.
Il etablit d'importantes relations commerciales avec Marseille, investissant ses economies a la Banque d'Angleterre, puis il alla rejoidre sa belle fiamille a Alger, ou il mourut en 1888. Il laissa, pour gerer ses affaires a Mogador, un parent, Ishoua Afriat. Son fils unique Salomon, futrepresentant de plusieurs societesfrancaises, dont la Societe Transatlantique. Et etair cinsidere comme un des plus grands negociants de Mogador. Il apporta un precieux soutien a l'œuvre educative de l'Alliance Universelle et a la cause francaise.
Aaron Afriat
1847 – 1923 Fils de Messod, fils de Naftali. Le plus illustre representant de la famille en Angleterre. Il se lanca dans le commerce a Mogador a l'age de 15 ans, et a 20 ans. Il s'installa en Angleterre, ou il fut elu un des administrateurs de la synagogue Bevis Mark de la communaute Portugaise. Sa maison de commerce specialise dans le the et les cotonades, assurait la plus grande partie de ce commerce avec Essaouira.
Sea freres Makhlouf et Salam, etaient les distributeurs a Essaouira du the Afriat, de grande reputation dans tout le pays.
Nessim Afriat
Notable te grand philanthrope de la commeunaute de Mogador. A la fin du dernier siecle , il fut parmi les grands donateurs pour la creatio de la Yechiva " Etz Haim ", fondee par les vieux notables pour lutter la  pour les etudes religieuses provoquee par l'ouverture de l'ecole de l'Alliance.
Rabbi Elisha Afriat
Rabbin ne a Sefrou en 1845, ou il aquit une grande reputation de kabbaliste. Il monta a Jerusalem avec 35 autres familles de Sefrou enh 1895. Mort a Jerusalem en 1928
Autre source
AFRIAT ou FRIATE : ce nom viendrait de Friat une tribu berbere de la région de Sous au Maroc; autre origine possible : aferiat en berbere signifie loquet : peut–etre exercant le metier de serrurier
 AFRIAT Chelomo (XIXe-XXes.). Originaire du Maroc (Mogador). Rabbin et commercant, il fut l’un des editeurs, avec les rabbins David Elkaim et David Iflah, du recueil de bakachot (supplications) Chir Yedidot (Chants d’amitie), devenu depuis, un classique dans le domaine.

ממזרח וממערב-כרך ה'-קהל התושבים בפאס מן המאה הט"ז ואילך – חיים בנטוב

ממזרח וממערב כרך חמישי.

פסק דין כעניין כית־הבנסת של התושבים מר׳ אליהו הצרפתיבית הכנסת בפאס

[עמי 1] הנה ראיתי ושמעתי באומרים לי שיש מי שרוצה לעשות פשרה בבה״ך הי״ג [ה׳ יגדלהו] של התושבים, ותמהני איך עלה בדעתו ומלאו לבו לעשות פשרה בדבר הגזול מבעליו דהרי פשוט וברור הוא לעין כל ובפרט לרואה השמש, שהב״ך הי״ג היא של הקהל וליכא מאן דפליג בזה ונתניה הקהל לכמה״ר סעדיה זלה״ה לו ולזרעו אחריו הזכרים הראויים למלאת מקומו. ויש בידם כמה הסכמות מהקהל ראשונים ואחרונים דדוקא לזרעו הזכרים הראויים למלאת מקומו בענין שירות הקדש. ויש בידם פסקי דינים מרבני פאס זלה״ה שיש דין קדימה למביני מדע מזרעו שיהי׳ לו חלק עודף מאחר שיש להם דעת בעיון וסברא על האחרים, והאחרים שאינם ראויים יטלו פחות מהם וכמה שנים אותם שאינם ראויים מעולם לא נתנו להם רשות מבדי״א  ליטול שכירות קרקע ומשם בארה דהיא של הקהל.

 או היה להם לפסוק ממון המוטל בספק יחלוקו ומעולם לא עלה ע״ד ב״ד זה. דזה ברור לכל שהיא של הקהל כמו שפסקו ג״כ רבני מכנאס יע״א. שהם מהר״ר משה טולידאנו זלה״ה ומהר״ר חביב טולידאנו ומהר״ר משה בירדוגו זלה״ה. שפסקו שב״ה הי״ג היא של הקהל ואפי׳ בזרע של החכם ז״ל רצו לפסוק דמה שעשו הקהל עשוי במה שדחו קצת מזרע החכם מלשרת בקדש, אלא סיימו אך מה שעשו ב״ד של פאס גם הם מסכימים עליו משום דבקיאי טפי והוא שהכניסו ב״ד אותם שהם מזרע החכם שלא היו ראויים להתמנות ונתנו להם חלק פחות יותר מאותם שהיו ראויים ולא יכלו הב״ד להכניס עד שריצו קהל בה״ך שכך אמרו בפסק: ״תבע ממנו ומהקהל התושבים על בה״ך הידועה לתושבים״.

ואמרו החכמים זלה״ה בפסקם הנז׳ טוב וישר מאחר שכעת עושה מלאכתו עראי ותורתו קבע ישרת בקדש השירות הראוי לו לאפוקי דרשות ויטול חלק מועט וחתמו עליו גאוני עולם מהריב״ע זלה״ה ומו״ר יעב״ץ זלה״ה. ומה שכתב מהריב״ם  זלה״ה שחזר בו מהריב״ע זלה״ה בפסק השני שהיה בשנה שבו כתבו פסק הראשון, שמאוחר מזה הנז׳ בקצת חדשים במ״ש ״אין אחד מהשני כתות יכולים לא למכור ולא למשכן״, חלילה לומר שהיא חזרה, אדרבה משם ראיה שהיא של הקהל אלא עשו הדבר כדין הקדש הבה״ך שהיא של הקהל והקדישוה לזכות החכם לו ולזרעו הזכרים הראויים שאין שום א׳ מהכתות יכולים למכור וכוי ואדרבה משם ראיה שסתרו מ״ש  בשטר מכר שהיה יכול החכם למכור ולמשכן, משום שהיא של הקהל.

ומ״ש שאין הקהל יכולים למכור אע״ג שהיא של הקהל, משום שהקדישוה לזכות החכם הנז' לו ולזרעו הזכרים הראויים. לכך אינם יכולים למכור וכו' ואם הייתי רואה אותו פסק השני נחמיניה ונבדקיניה והייתי מגלה מאיזה צד נעשה הפסק כי לא ראיתי הולדת הספק כי אם ממה שטענו בני החכם אותם שאינם ראויים על הראויים וזוהי טענתם: דילמא בשטר מכר חזרו הקהל ונתנוה לחכם לכך נכתב שיכול החכם למכור וכו' והנה ראיתי שסתרו טענתם אחיהם שהם חכמים מההיא דגמי (ב״ק, לו, ב) ההוא דתקע לחבריה וחייבוהו ליתן לחבריה פלגא דזוזא [עמי 2] אמר האי גברא הואיל ופלגא דזוזא לא בעינא ליח, נתבוה לעניים.

המשך…..

המשפט העברי בקהילות מרוקו – מ.עמר

ספר התקנות – המשפט העברי בקהילות מרוקו.

המכון למורשת יהדות מרוקו.

הרב משה עמאר

הרב אליהו עצור

מר משה גבאי

פתח דבר

הכל תלוי במזל אפילו ספר תורה שבהיכל

עוד בתקופת הגאונים פרח בצפון אפריקה מרכז רוחני גדול שהדיו נשמעו למרחקים וזכה להוקרתם של גאוני בבל והוא היווה כחוליה מקשרת בין יהדות המזרח וראשיה לבין יהדות המערב – ספרד. כאשר החלה להתדלדל סמכותו של המרכז הרוחני העולמי של היהדות בבבל, לתקופת מה המרכז הרוחני בצפון אפריקה תפס את מקומו בכמה בחינות.

כ״ז. טופס פס״ד על ענין כתובת בנין דכרין. לפי שר׳ משה בן נחמיאש בר יוםף נ״ע, נשא אשתו הראשונה מרת מקנין בת ר׳ לוי הכהן, בכתובה כדת וכהלכה, מסך תל״ם ממעות ישן נושן, כמו שראינו אנו החתומים הכתובה הנזכרת, כתוב וחתום כך מהסך הנז׳, ומזמן המעות כנז׳, ומקנין הנז׳ נפטרת לב״ע בחיי ר׳ משה הנז' והניחה בנין דכרין הייה ר׳ יוסף, ור׳ לוי, בני ר׳ משה הנז׳. ואחייכ נשא ר׳ משה הנז׳ אשה אחרת, ונלב״ע, והניח עם האשה השניה בן אי, ושמו ר׳ אברהם. והאשה השניה הנז', אם אברהם הנז׳, גבתה כתובתה מעזבון ר׳ משה הנז׳.

ור׳ יוסף ור׳ לוי הנזי, הוציאו לפנינו כתובת אמם, לגבותם מנכסי אביהם הנז׳ בתנאי ב״ד. ותבעו ממנו מה ששורת הדין נותנת, עפ״י רוב הפוסקים, שהדין עם ר׳ יוסף ור׳ לוי הנז׳, וראוי לפרוע להם כתובת בנין דכרין מעזבון ר׳ משה הנז׳, אעפ׳׳י שהשנייה קיימת. ור׳ יוסף ור׳ לוי ת״ב הנזי, הוציאו קצת שטרי משכונות מנכסי אביהם הנז׳׳ ואמרנו לשני סופרי ב״ד, להשביע לבנים הנז', שבועת הבא ליפרע מנכסי יתומים. והבנים הנז׳ נשבעו שבועתם בס״ת כמ״ש ב״ו מיד סופרי ב״ד. ועלה בחשבון הכתובה הנז׳, ממעות אדוננו המלך יר״ה, אחר ניכוי שליש הכתובה, כפי מה ששורת הדין נותנת, במנהג התושבים באלמנות, כשמגבין להן כתובתן ארבע מאות ושנים וששים אוקיות ורבלע האוקייא, בחשבון אוקייא וחצי אוקייא וששה פונדיונין לכל אוקייא, לפי קצבה הקצובה במעות הנז׳. והגבינו לבנים הנז׳, שטר משכונה אחת, שעל חצר מסעוד בן זאזון ליוסף הנז׳, והודה בפנינו שהם מעזבון אביו, והיא מסך מאה וששה עשר אוקיות, ועולה בנימי שלה ו״ת. ועוד משכונה אחרת נגד אסתר ר׳ נחמיה הכהן, ואלא טאטא חמותו, מסך שמונים אוקיות, ועולה בניכוי שלה ג״ם בקירוב. ועוד משכונה אחת, נגד אלמנת אסתר דון אלעזר די קואיליאר, מסך ארבעים אוקיות, ועולה בניכוי שלה א״ם בקרוב.

ואם שטר משכונה אחת שהודה בפנינו ר׳ לוי המי, שהיא בידו מסך ג״ם אוקיות, בחנות שיושב בה יצחק בינדיג׳א. ועוד משכונה א׳ מסך אב״ם נגד סולימאן בן בטאג, שהודה בפנינו ר׳ יוסף הנז׳, שקבל סך המשכונה הנז׳ מנכסי אביו, שעולה ככל המי, עם משכו׳ אחרת נגד הנגיד ר׳ שאול בן רמוך, מסך שבעים אוקיות, ועולה בכינוי שלה ג״ם בקירוב, תמ״ם ב״ת, נשאר לבנים הנז׳ בלא גביה בב״ם. ומעכשיו אנו מזכין לר׳ יוסף ור׳ לוי הנז׳ בכל הסך הנז׳ במשכונות הנז', וכמה שגבו מהם זכייה גמורה לפרעון הכתובה הנז׳ וכתבנו הכתובה הנז׳ פרעון כל הנז׳ ומעכשיו אנו נותנים רשות לבנים המי, לגבות הכב״ם מעזבון אביהם, לתשלום פירעון הכתובה הנז׳. ולראיה חתמנו פה בעישור אמצעי לחדש כסלו ש׳ שכ״ג לפר״ק, והבל שריר ובריר וקיים.

והסיבה שאמרנו לגבות הכתובה הנז׳ ומעכשיו אנו נותנים רשות לבנים הנז׳, לגבות הכב״ם מעזבון אביהם, לתשלום פירעון הכתובה הנז׳. ולראיה חתמנו פה בעישור אמצעי לחדש כסלו ש׳ שכ״ג לפרי׳ק, והכל שריר ובריר וקיים. והסיבה שאמרנו לגבות הכתובה הנזכרת, מהשטרות הנז׳ וזולתם מטלטלי, לפי שכתוב בכתובה, שקבל עליו לפרוע הכתובה, ושאר תנאי בית דין, מכל ארג נכסין וקנינין דאית ליה תחות כל שמיא, ממקרקעי ומטלטלי אגב מקרקעי וקיים ע״כ. וחתומים החכם בה״ר שם סוב אמיגו ז״ל. והחכם כה״ר אברהם עוזיאל ז״ל והחכם כה׳׳ר אברהם ביטון ז״ל. ואנו החתומים הטפסנו טופס זה כמאמר ב׳׳ד יצ״ו, ולראיה ח״פ וחתומים החכמים השלמים כמה״ר מכלוף ן׳ אסולין זלה״ה הסופר. וכה״ר משה בר יעקב הלוי הסופר זלה״ה.

בחדש אייר ש׳ שכ״ה.

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